Vivre l'avent au Rosaire



Pour vivre intensément
l’Avent 2016
à Notre-Dame du Rosaire.
« Gloire à Dieu dans les hauteurs
et sur terre paix aux hommes,
car il les aime. »
Evangile selon saint Luc 2,14
QUATRE DIMANCHE NOUS PREPARENT A  ACCUEILLIR LE SAUVEUR.
1er dimanche de l’Avent : 26/27 novembre.
Collecte en faveur de « l’Entraide Boetendael Alliance.*  Collecte de vivres non périssables qui se déroulera pendant tout le temps de l’Avent, des paniers seront mis à votre disposition près de la crêche.

2ème dimanche de l’Avent : 3/4 décembre
Appel pour renouveler et renforcer les équipes de bénévoles dans notre paroisse : cette semaine, la chorale.
A la messe du samedi 18h00 et du dimanche 10h30, nous entendrons le témoignage d’un représentant de l’association « L’amorce », que nous soutenons dans le cadre de l’action « Vivre ensemble ». Des documents sur le rôle de cette association vous seront remis

3ème dimanche de l’Avent : 10/11 décembre
Collecte en faveur de l’association « L’amorce », école de devoirs qui accompagne les enfants au niveau scolaire, en impliquant les parents dans une démarche  d’éducation permanente et de prise de conscience des enjeux d’actualité
Le mercredi 14 décembre à 10h00, messe préparatoire à Noël pour les élèves de l’enseignement fondamental de l’Institut Marie immaculée.
4ème dimanche de l’Avent : 17/18 décembre
Le samedi 17 décembre, de 14h30 à 17h30, nous pourrons recevoir le sacrement de la réconciliation. Suivi de la messe à 18h00.
Le dimanche 18 décembre : Appel pour renforcer notre équipe de l’acolytat et le lectorat.
Mercredi 21 décembre 18h30 : Messe de Noël pour les mouvements de jeunesse de notre paroisse, XVI unité scoute et XXII ème unité des guides catholiques de Belgique.
Samedi 24 décembre : 18h00  Messe de la Nativité
Dimanche 25 décembre : 10h30 Messe de Noël

DEUX ACTIONS POUR TEMOIGNER DE NOTRE CONVERSION.

Comme chaque année, la collecte de ce premier dimanche de l'Avent est pour l'asbl Entraide Boetendael-Alliance. Cette asbl regroupe les services d'aide aux plus pauvres des Unités Pastorales Boetendael et de l'Alliance, auxquelles s'est jointe la paroisse Notre Dame du Rosaire. Elle gère donc l'ensemble des activités d'entraide de l’Église Catholique à Uccle.
  1. L'entraide comprend 5 types d'activités permanentes principales.Les colis alimentaires. Près de 500 familles sont ainsi aidées. 
  2.  L'accompagnement dans la durée des personnes les plus démunies. Cette activité, appelée A Ciel Ouvert, organise en outre l'alphabétisation des adultes, une école des devoirs, une initiation à l'informatique et à l'internet, un atelier de couture et raccommodage et un atelier de cuisine à petit prix. 
  3. Des consultations sociales pour fournir une guidance sociale et, si nécessaire, une aide financière ponctuelle. 
  4. Des centres d'accueil : un café social à Uccle Centre et un centre d'écoute à la Bascule.
  5. Et enfin les vestiaires du Boetendael et de St Job, qui redistribue les vêtements usagés mais encore en bon état.
Le budget 2016 pour toutes ces activités permanentes est d’environ 35.000 €

Outre ces activités permanentes, l'Entraide Boetendael-Alliance gère l’installation à Uccle de familles de réfugiés chrétiens du Moyen-Orient. Sept familles ont déjà été accueillies. Les services que nous venons de citer sont bien sûr tous utilisés pour les aider à commencer une nouvelle vie chez nous.

Vous trouverez à la sortie de la messe des dépliants descriptifs avec un ordre de virement permettant de faire un don avec avantage fiscal.


APPORTER DES VIVRES POUR LE CENTRE D’ENTRAIDE

La seconde action consiste à récolter des vivres non-périssables qui seront centralisés au centre d’entraide Boetendael-Alliance. Des paniers seront à votre disposition près de la crèche. Ils recevront des vivres de premières nécessités et des vivres plus festifs : lait, café, thé, farine, conserves de fruits et de légumes, chocolat, jus de fruit, huile et autres aliments de ce genre.
Un tout grand merci pour votre générosité durant l’Avent et Noël. Ces actions se poursuivent toute l’année.Les équipes de bénévoles de Notre-Dame du Rosaire et vos pasteurs.  
                                                              

Petit traité de l'abandon



Alexandre Julien, Petit traité de l’abandon, pensées pour accueillir la vie telle qu’elle se propose, Seuil, S.E., 2012, pp 63-68.

La Foi et la Prière

Est-ce que  j’ai  la  foi ?  Certaines  nuits,  je  me  réveille en songeant  que l'univers  est vaste  et que dans  quelques années, je ne serai plus là, J’ai des angoisses et cet univers me paraît  dépourvu  de sens.  Certains  matins, Je me lève avec la confiance  absolue  en  mon cœur et je suis sûr que Dieu, qui n’est pas Dieu c’est pourquoi  je l’appelle  Dieu, existe et qu’il  est  infiniment  bienveillant.
Est-ce que j’ai  la foi ?  La réponse  est donc oui et non. Certains jours, je me lève croyant pour me coucher athée. Pourtant,  lorsque  je  médite  en  profondeur,  la  réponse est  oui.  Au  niveau  du  cœur,  j’y  crois  totalement  ;  mais rationnellement,  c'est plus  compliqué.  Quand j’ai réalisé ce contraste  entre le cœur  et lesprit, j'ai éprouvé  une joie infinie parce que j’y ai trouvé une fois de plus une invitation à descendre au fond du fond. Comme en pleine mer : à la surface il y a mille vagues, mais au fond du fond, c’est calme, immensément calme et bienveillant. Plein de joie, j’ai réalisé que je devais tendre l’oreille à mon Cœur qui lui est déjà en paix. Le Cœur, d’ailleurs, ne dit jamais non.  J’ai constaté que le Cœur accepte la réalité, le handicap, la souffrance, les quolibets, les regards. C’est l’esprit qui m’en éloigne. C’est le mental, c’est la psychologie à deux sous que je me suis fabriquée
Un jour, dans un monastère, je faisais part à un moine de mes doutes et de ma foi, qui n’est pas une foi c’est pourquoi je l’appelle foi. Il m’a dit :”Toi, tu es comme Dieu. On vous prend presque toujours pour quelqu’un d’autre, sauf ceux qui vous aiment vraiment.” Et il m’a convié à pratiquer un exercice. Il m’a donné une croix et m’a invité à l’envoyer contre le mur et à faire tout ce que j’avais envie avec elle. Tout de suite, je lui ai répondu :” Mon père, je ne peux pas faire ce que tu me dis, c’est un blasphème, je ne peux pas insulter comme ça la religion;” Et il m’a dit :” Ce que tu prends pour de la religion c’est une idole.” Alors j’ai fait l’exercice de la croix. Je l’ai jetée contre un mur. Je l’ai triturée et je me suis aperçu que plus je faisais cela, plus mon amour de Dieu était sans peur. Quand j’ai raconté cela à ma femme, elle m’a dit :” On pourrait pratiquer cet exercice avec tous ceux que l’on aime”. Ma ce serait plus difficile de jeter sa femme contre le mur”! Cela dit, il y a la quelque chose  d’éminemment profond. Tant que j’aime une image de Dieu ou une image de ma femme, je ne l’aime pas pour elle-même. Tant que j’aime l’image parfait, impeccable de mes enfants, je ne les aime pas pour ce qu’ils sont
Pour moi, la prière, c’est se présenter nu à Dieu, sans attentes. On considère souvent la prière comme une demande. Je demande la santé, je demande la prospérité et je demande régulièrement pour ma part, d’être épargné de la perte d’un enfant. Mais depuis que l’ai lu le Soutra du Diamant, il m’apparait que la prière n’est pas la prière. C’est pourquoi je l’appelle la prière. La prière ce n’est pas :”Donne-moi ça” Parce que quand on dit :”Donne mi ça”, on se coupe de tout, on se fixe, on se borne à un résultat. Si Dieu existe, il ne va pas donner une réponse clé en main à notre prière. Il ne va pas server l’objet de nos désirs sur un plateau :”Voilà ce que tu m’as demandé!” Peut-être que dire :”la prière n’est pas la prière c’est pourquoi je l’appelle prière”, c’est dire :” La réponse à ma prière n’est pas la réponse à ma prière c’est pourquoi je l’appelle ma réponse à la prière.” Etre en attente.  Se laisser ouvrir. Lire le Soutra du Diamant, c’est plonger au fond du fond pour n’être que pure écoute. Oser laisser la vie sans vouloir changer quoi que ce soit. Oser lâcher cette obligation de résultat, de réponse, et le silence peut devenir un lieu de ressource. Parfois dans l’épreuve, ma prière c’est juste être là.. J’attends sans attendre, dans la confiance. Etre nu devant Dieu, confiant et sans attente. La confiance ce n’est pas :”J’attends des trucs”.
Une phrase de Saint Augustin m’aide beaucoup :” Ne fuis pas, rentre en toi-même; c’est dans le Cœur de l’homme qu’habite la vérité ! “ Et chaque fois que je dois prendre une grande décision, j’essaye de suivre Saint Augustin et peut être de prendre le sous-marin de l’âme pour descendre au plus profond de moi, pour y entendre silencieusement un conseil, une voix discrète dans les tumultes de mes caprices, qui m’indique non pas un chemin à suivre, mais une direction, qui me suggère le pas à faire. Et de nouveau la prière n’est pas la prière, c’est pourquoi je l’appelle la prière. Avant j’imaginais la prière comme une voix intimant des ordres :” Fais ceci, fais cela!”. Mais cela nie la grandeur de Dieu et la liberté infinie de l’homme.
Pour le chrétien, la prière procède avant tout d’une rencontre. Une rencontre avec le Christ, avec Jésus. Et ce qui me plait dans le parcours de Jésus, si j’ose dire, si l’on regarde sa vie à vue humaine, c’est qu’il y a l’échec, sauf son adhésion totale à la vie. La croix, pour moi, c’est le degré zéro de l’espoir. Jésus à tout raté au moment de la croix. Tout a échoué. Pourtant, pour le croyant, pour le chrétien, c’est là que la vie commence. Elle gagne du terrain, ou plutôt, elle gagne en même temps qu’elle perd. C’est le degré zéro de la vie humaine. Il n’y a plus d’espoir. Et pourtant ce degré zéro devient le lieu du salut. Souvent, dans la prière, je pense à cela. Quand je suis vraiment dans la désolation, quand il n’y a plus rien à faire, j’ose l’abandon total.
L’autre soir,  j’étais dans mon lit, le sommeil ne venait pas. J’avais une gouttière dans la bouche pour limiter les tensions dans la nuque. J’avais une pompe à respirer sur le nez pour mieux dormir et un truc aux jambes pour diminuer les douleurs. Le sommeil ne venait pas. J’ai prié et j’ai senti que Dieu était aussi impuissant que moi dans cette situation. Paradoxalement, cela m’a conduit à l’abandon total. Et c’est peut-être cela le miracle. Dix minutes après je ronflais comme un sonneur.


Et pourtant… Et comment ? Et maintenant ?

La fête de ND du Rosaire dimanche 16 octobre fut placée sous le signe de l’hospitalité que la Vierge Marie nous réserve dans son cœur quand elle intercède pour nous mais aussi l’hospitalité que nous nous accordons mutuellement lorsque nous nous accueillons avec bienveillance et prenons soin les uns des autres.

Ce fil conducteur a été décliné toute la journée, depuis l’homélie de la messe jusqu’à la conférence de Jean Hermesse, Secrétaire général des Mutualités chrétiennes, qui a précédé le repas, suivi d’un jeu, deux moments de convivialité, donc d’hospitalité mutuelle.

Pour Jean Hermesse, l’hospitalité n’est pas qu’une question individuelle. Elle transparait dans notre projet de société.

La recension qui suit est celle de sa conférence et du débat qui l’a suivi. Elle n’est pas fidèle au déroulement chronologique mais est plutôt soucieuse de cohérence thématique.

Etymologiquement, l’hospitalité renvoie à l’hôpital et, partant, au système de soins médicaux en général. Jean Hermesse en est un observateur privilégié dans notre pays depuis une bonne trentaine d’années.

Les études comparatives montrent que les résidents en Belgique sont réputés plus satisfaits de leur système de santé que ne le sont leurs voisins. Nombre de fonctionnaires européens n’hésitent pas à rester vivre en Belgique une fois qu’ils sont pensionnés.

Les praticiens sont bien formés, les infrastructures de qualité et pas engorgées : les consultations ne souffrent pas de délais d’attente importants, sauf en ce qui concerne quelques spécialités. L’espérance de vie en Belgique reste enviable.

ET POURTANT…

  1.  Alors que le territoire belge est exigu, il y a d’énormes disparités entre les habitants. Un Brugeois vit en moyenne 5 ans plus longtemps qu’un Anderlusien. C’est encore plus flagrant en matière d’espérance de santé. Ces importantes disparités sont avant tout dues aux différences de niveau d’éducation, d’habitudes alimentaires, de niveau de vie. 
  2.  La consommation de somnifères et d’antidépresseurs par les personnes âgées est en constante augmentation et va de pair avec leur isolement croissant : 34% sont aujourd’hui isolées contre 17% en 1970. A Bruxelles, les nombreuses maisons de repos hébergent une forte proportion de résidents encore valides, qui y recherchent la sécurité et à rompre leur isolement ; 
  3. Le taux de suicide des hommes de + de 75 ans est élevé.  Ces indicateurs interpellent. 
Les Etats voisins de la Belgique sont moins inégalitaires, preuve que des inégalités socio-économiques croissantes ne sont pas une fatalité.

Il ne faut pas réduire le niveau de bien-être dans un Etat donné à l’accumulation de richesses accumulées collectivement. C’est même le contraire lorsque l’accumulation de biens est atteinte au détriment du lien social. Nous sommes riches de biens mais pauvres de liens.

Le montant des indemnités d’invalidité versées en Belgique explose littéralement sans que les bénéficiaires sortent de la précarité financière. Une enquête interne aux Mutualités chrétiennes réalisée auprès de 500 invalides montre que la moitié ont du mal « à joindre les deux bouts » et n’ont aucun budget pour les loisirs.

 27% des hommes de plus de 60 ans sont enregistrés comme invalides. Entre 2000 et 2010 la Belgique a enregistré 60.000 invalides de plus, entre 2010 et 2015, 90.000 de plus et on en prévoit 120.000 de plus entre 2015 et 2020. 

Le mouvement s’accélère avec le vieillissement de la population : en 2000 la Belgique comptait 186.000 personnes de + de 85 ans, en 2030 ce nombre aura grimpé à 350.000 et en 2050, à 700.000 ! Le « baby-boom » d’après-guerre s’est mué en « papy-boom ».

L’allongement de la durée du temps de travail pour à la fois réduire le nombre d’inactifs à la charge des actifs et financer les pensions des seniors est inéluctable. Rien que les besoins de financement des indemnités d’invalidité ont crû de 1,6 milliard d’euro ces cinq dernières années.

Mais les palliatifs mis en œuvre par le gouvernement fédéral (volonté affichée de remettre le maximum d’invalides au travail, sous peine de sanctions pécuniaires) se heurtent à l’obstination des chiffres : seuls 7% des invalides sont prêts à retravailler. Ces mesures ne tiennent pas lieu de vision ambitieuse, précédant toute nouvelle stratégie d’envergure.  

ET COMMENT ?

A contrario de la Belgique, la Finlande est devenue très proactive pour éviter que l’allongement du temps de travail rime avec l’explosion du taux d’incapacité. Les seniors actifs travaillent principalement à mi-temps et dans des fonctions de tuteurs des actifs plus jeunes. Ils retrouvent de la considération aux yeux de la société en étant perçus comme une richesse humaine et plus comme une charge.

Remises au cœur de la société et plus reléguées à ses marges, les personnes âgées se portent mieux car « elles sont remises debout ». Les infirmiers de rue témoignent que le lien social soigne mieux que tous les médicaments et revient moins cher.

La Belgique consacre 10 % de son PIB aux soins de santé soit une quarantaine de milliards € chaque année. Les Etats-Unis, 17% ! Avec une espérance de vie moyenne plus basse, au niveau de celle des Cubains.

L’idée dominante reste que la croissance est le remède à tous les maux : plus d’investissements dans les soins de santé, de caméras de surveillance, de contrôles etc… Avec comme corolaire le développement de services marchands et le chacun pour soi (auxiliaires de vie à domicile « SeniorCare24 ») ou l’entre-soi (complexe immobilier « Bella Vita » à Waterloo), d’où le renforcement du clivage entre gagnants et perdants.

Or, l’aménagement du territoire (trottoirs accessibles, places publiques piétonnières, commerces de proximité, maisons de quartier, bibliothèques-librairies-cafés, jardins potagers publics, logements mixtes intergénérationnels, appartements communautaires dans chacun des grands immeubles d’habitation, ouverture au public de jardins privés, modes de transport doux tels le vélo, etc…) doit permettre aux différentes générations et classes sociales de favoriser les occasions de se recroiser gratuitement (fête des voisins, aide aux devoirs scolaires par les aînés, groupes de « tricoteuses », de cuisinières, etc…), de brasser leurs préoccupations.

ET MAINTENANT ?

Bruxelles est une agglomération cosmopolite qui recèle donc la richesse de la diversité des origines de ses habitants.

 Le café d’antan est devenu rare mais pas le bar d’unité. Uccle compte 2.000 scouts (garçons et filles) pour 80.000 habitants. Certains mouvements de jeunesse gardent la cote.

 Les Mutualités chrétiennes sont à l’origine de « Jeunesse et santé » (camps de vacances pour jeunes), Eneo (mouvement social des aînés), Alteo (mouvement social des personnes handicapées).

Chacun de nous a des talents. Comment les partageons-nous ? Plein de dépenses sont réduites, voire supprimées, lorsqu’on s’inscrit dans un réseau informel. C’est le cas des colocations étudiantes, de l’outil coûteux dont on se sert une fois par an et qu’on prête aux voisins. Il y a un risque qu’il soit moins bien entretenu mais il est transcendé par le bénéfice du lien humain cultivé.


Au Danemark, le nombre de résidents dans les maisons de retraite a chuté avec le développement d’une politique de maintien à domicile et de mixité des logements.

Cette tendance lourde s’inscrit dans l’économie du partage où l’usage des biens est plus important que leur possession, où l’être transcende l’avoir.

L’échevine Catherine Roba-Rabier, présente dans la salle, insiste sur l’importance de l’interpellation permanente des mandataires politiques par la société civile. Sans une société civile dynamique, les représentants politiques sont démunis.

En conclusion « Soyons le changement que nous voulons voir advenir » (Mahatma Gandhi)
                                                                               Christophe Coeckelbergh
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