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Catéchèse 2018 -2019
Catéchèse 2018 -2019 au Rosaire
La saison d'inscription pour la catéchèse 2018-2019 aura lieu en septembre. Si vous souhaitez dès maintenant vous assurer de recevoir toutes les informations en temps et en heure pour les inscriptions, n'hésitez pas à compléter le petit formulaire ci après. Une fois inscris, nous vous communiquerons toutes les dates se rapportant à la catéchèse.
COMMUNIQUE DU VICARIAT DE BRUXELLES
Chers amis,
Je tiens par la présente à vous communiquer quelques changements importants dans la pastorale territoriale francophone du Vicariat de Bruxelles. Les changements repris ci-dessous sont effectifs à la date du 1" septembre prochain, sauf mention contraire.
Bien fraternellement, Jean Kockerols
1) UP Sources Vives : Reconfiguration de l'Unité pastorale.
La paroisse N. Dame du Rosaire n'en fera plus partie et rejoint l'Unité pastorale de l'Alliance.
Forment donc l'Unité : N.D. de l'Annonciation, Trinité, S. Coeur (le Chat).
Départ de Thierry VAN DER POELEN pour l'UP Sarments forestois.
Départ d'Innocents BATEKIDILA, qui retrouve son diocèse d'origine.
2) UP Alliance : Reconfiguration de l'Unité pastorale.
La paroisse N. Dame du Rosaire en fera désormais partie, à côté des paroisses de S. Job et Ste Anne.
3) UP Sarments forestois : départ de Michel CHRISTIAENS, qui reste responsable de l'UP St Gilles, départ d'Eric HOLTNSATALI pour l'UP St Gilles.
Nomination de Thierry VAN DER POELEN comme responsable de l'UP.
Appel à candidature à la fonction d’animateur pastora
Pastorale de la Santé – Equipes de Visiteurs
Appel à candidature à la fonction d’animateur pastoral
Le service Equipes de Visiteurs fait partie de la Pastorale de la Santé de Bruxelles. Sa mission est d’accompagner les
équipes de visiteurs sur le terrain, de coacher particulièrement les
responsables et de proposer chaque année un programme de formations.
Site : www.equipesdevisiteurs.be
Fonction
En collaboration avec les autres membres du service, vous assurerez les fonctions de : Accompagnateur d’équipes locales
Coaching des équipes locales de visiteurs et participation aux réunions de coordination
Animateur et formateur
Participation à la réflexion, élaboration, animation et évaluation des formations
Gestion et communication
Participation à la gestion administrative du service et à la communication
Profil
· Vous
êtes titulaire d’un diplôme d’études supérieures en sciences humaines
et/ou religieuses ou vous pouvez justifier d’une expérience équivalente,
· Vous
témoignez d’une réelle spiritualité ainsi que d’une authentique
relation à l’Eglise dans l’esprit de la charte du visiteur
(https://www.catho-bruxelles.be/wp-content/uploads/2015/11/Charte-visiteur-2016-Bxl.pdf)
· Vous êtes concerné par la personne malade, âgée, isolée et handicapée,
· Vous êtes intéressé par les questions psychologiques, spirituelles, existentielles, pastorales, éthiques et liturgiques,
· Vous possédez des aptitudes pédagogiques et relationnelles et vous êtes prêt à vous former,
· Vous êtes capable de réflexion, d'analyse et de remise en question,
· Vous êtes capable de travailler en équipe tout en faisant preuve d’autonomie,
· Vous vous sentez à l’aise avec la diversité de Bruxelles, ville multilingue, multiculturelle, multiconfessionnelle.
Nous offrons
Un contrat à durée indéterminée, à mi-temps
Horaire à convenir, comprenant des prestations ponctuelles le soir et le samedi
Un travail au sein d’une équipe dynamique
Un coaching « nouveau collaborateur »
Une formation permanente
Lieu de travail : Saint-Gilles en particulier et la région bruxelloise en général
Pour plus d’informations, vous pouvez contacter Cécile Gillis-Devleminck, Marie Béatrice Carlier au 02 533 29 55 ou Walter Van Goubergen au 02 533 29 51.
Les candidatures, lettre de motivation et CV, sont à envoyer pour le 27 août 2017 au plus tard à Cécile Gillis-Devleminck
Pastorale de la Santé – Equipes de Visiteurs
Rue de la Linière 14
1060 Bruxelles
Mail : hosppastbru@skynet.be
Et pourtant… Et comment ? Et maintenant ?
La fête de ND du Rosaire dimanche 16 octobre fut placée sous le signe de l’hospitalité que la Vierge Marie nous réserve dans son cœur quand elle intercède pour nous mais aussi l’hospitalité que nous nous accordons mutuellement lorsque nous nous accueillons avec bienveillance et prenons soin les uns des autres.
Ce fil conducteur a été décliné toute la journée, depuis l’homélie de la messe jusqu’à la conférence de Jean Hermesse, Secrétaire général des Mutualités chrétiennes, qui a précédé le repas, suivi d’un jeu, deux moments de convivialité, donc d’hospitalité mutuelle.
Pour Jean Hermesse, l’hospitalité n’est pas qu’une question individuelle. Elle transparait dans notre projet de société.
La recension qui suit est celle de sa conférence et du débat qui l’a suivi. Elle n’est pas fidèle au déroulement chronologique mais est plutôt soucieuse de cohérence thématique.
Etymologiquement, l’hospitalité renvoie à l’hôpital et, partant, au système de soins médicaux en général. Jean Hermesse en est un observateur privilégié dans notre pays depuis une bonne trentaine d’années.
Les études comparatives montrent que les résidents en Belgique sont réputés plus satisfaits de leur système de santé que ne le sont leurs voisins. Nombre de fonctionnaires européens n’hésitent pas à rester vivre en Belgique une fois qu’ils sont pensionnés.
Les praticiens sont bien formés, les infrastructures de qualité et pas engorgées : les consultations ne souffrent pas de délais d’attente importants, sauf en ce qui concerne quelques spécialités. L’espérance de vie en Belgique reste enviable.
ET POURTANT…
Il ne faut pas réduire le niveau de bien-être dans un Etat donné à l’accumulation de richesses accumulées collectivement. C’est même le contraire lorsque l’accumulation de biens est atteinte au détriment du lien social. Nous sommes riches de biens mais pauvres de liens.
Le montant des indemnités d’invalidité versées en Belgique explose littéralement sans que les bénéficiaires sortent de la précarité financière. Une enquête interne aux Mutualités chrétiennes réalisée auprès de 500 invalides montre que la moitié ont du mal « à joindre les deux bouts » et n’ont aucun budget pour les loisirs.
27% des hommes de plus de 60 ans sont enregistrés comme invalides. Entre 2000 et 2010 la Belgique a enregistré 60.000 invalides de plus, entre 2010 et 2015, 90.000 de plus et on en prévoit 120.000 de plus entre 2015 et 2020.
Le mouvement s’accélère avec le vieillissement de la population : en 2000 la Belgique comptait 186.000 personnes de + de 85 ans, en 2030 ce nombre aura grimpé à 350.000 et en 2050, à 700.000 ! Le « baby-boom » d’après-guerre s’est mué en « papy-boom ».
L’allongement de la durée du temps de travail pour à la fois réduire le nombre d’inactifs à la charge des actifs et financer les pensions des seniors est inéluctable. Rien que les besoins de financement des indemnités d’invalidité ont crû de 1,6 milliard d’euro ces cinq dernières années.
Mais les palliatifs mis en œuvre par le gouvernement fédéral (volonté affichée de remettre le maximum d’invalides au travail, sous peine de sanctions pécuniaires) se heurtent à l’obstination des chiffres : seuls 7% des invalides sont prêts à retravailler. Ces mesures ne tiennent pas lieu de vision ambitieuse, précédant toute nouvelle stratégie d’envergure.
ET COMMENT ?
A contrario de la Belgique, la Finlande est devenue très proactive pour éviter que l’allongement du temps de travail rime avec l’explosion du taux d’incapacité. Les seniors actifs travaillent principalement à mi-temps et dans des fonctions de tuteurs des actifs plus jeunes. Ils retrouvent de la considération aux yeux de la société en étant perçus comme une richesse humaine et plus comme une charge.
Remises au cœur de la société et plus reléguées à ses marges, les personnes âgées se portent mieux car « elles sont remises debout ». Les infirmiers de rue témoignent que le lien social soigne mieux que tous les médicaments et revient moins cher.
La Belgique consacre 10 % de son PIB aux soins de santé soit une quarantaine de milliards € chaque année. Les Etats-Unis, 17% ! Avec une espérance de vie moyenne plus basse, au niveau de celle des Cubains.
L’idée dominante reste que la croissance est le remède à tous les maux : plus d’investissements dans les soins de santé, de caméras de surveillance, de contrôles etc… Avec comme corolaire le développement de services marchands et le chacun pour soi (auxiliaires de vie à domicile « SeniorCare24 ») ou l’entre-soi (complexe immobilier « Bella Vita » à Waterloo), d’où le renforcement du clivage entre gagnants et perdants.
Or, l’aménagement du territoire (trottoirs accessibles, places publiques piétonnières, commerces de proximité, maisons de quartier, bibliothèques-librairies-cafés, jardins potagers publics, logements mixtes intergénérationnels, appartements communautaires dans chacun des grands immeubles d’habitation, ouverture au public de jardins privés, modes de transport doux tels le vélo, etc…) doit permettre aux différentes générations et classes sociales de favoriser les occasions de se recroiser gratuitement (fête des voisins, aide aux devoirs scolaires par les aînés, groupes de « tricoteuses », de cuisinières, etc…), de brasser leurs préoccupations.
ET MAINTENANT ?
Bruxelles est une agglomération cosmopolite qui recèle donc la richesse de la diversité des origines de ses habitants.
Le café d’antan est devenu rare mais pas le bar d’unité. Uccle compte 2.000 scouts (garçons et filles) pour 80.000 habitants. Certains mouvements de jeunesse gardent la cote.
Les Mutualités chrétiennes sont à l’origine de « Jeunesse et santé » (camps de vacances pour jeunes), Eneo (mouvement social des aînés), Alteo (mouvement social des personnes handicapées).
Chacun de nous a des talents. Comment les partageons-nous ? Plein de dépenses sont réduites, voire supprimées, lorsqu’on s’inscrit dans un réseau informel. C’est le cas des colocations étudiantes, de l’outil coûteux dont on se sert une fois par an et qu’on prête aux voisins. Il y a un risque qu’il soit moins bien entretenu mais il est transcendé par le bénéfice du lien humain cultivé.
Au Danemark, le nombre de résidents dans les maisons de retraite a chuté avec le développement d’une politique de maintien à domicile et de mixité des logements.
Cette tendance lourde s’inscrit dans l’économie du partage où l’usage des biens est plus important que leur possession, où l’être transcende l’avoir.
L’échevine Catherine Roba-Rabier, présente dans la salle, insiste sur l’importance de l’interpellation permanente des mandataires politiques par la société civile. Sans une société civile dynamique, les représentants politiques sont démunis.
En conclusion « Soyons le changement que nous voulons voir advenir » (Mahatma Gandhi)
Christophe Coeckelbergh
Ce fil conducteur a été décliné toute la journée, depuis l’homélie de la messe jusqu’à la conférence de Jean Hermesse, Secrétaire général des Mutualités chrétiennes, qui a précédé le repas, suivi d’un jeu, deux moments de convivialité, donc d’hospitalité mutuelle.
Pour Jean Hermesse, l’hospitalité n’est pas qu’une question individuelle. Elle transparait dans notre projet de société.
La recension qui suit est celle de sa conférence et du débat qui l’a suivi. Elle n’est pas fidèle au déroulement chronologique mais est plutôt soucieuse de cohérence thématique.
Etymologiquement, l’hospitalité renvoie à l’hôpital et, partant, au système de soins médicaux en général. Jean Hermesse en est un observateur privilégié dans notre pays depuis une bonne trentaine d’années.
Les études comparatives montrent que les résidents en Belgique sont réputés plus satisfaits de leur système de santé que ne le sont leurs voisins. Nombre de fonctionnaires européens n’hésitent pas à rester vivre en Belgique une fois qu’ils sont pensionnés.
Les praticiens sont bien formés, les infrastructures de qualité et pas engorgées : les consultations ne souffrent pas de délais d’attente importants, sauf en ce qui concerne quelques spécialités. L’espérance de vie en Belgique reste enviable.
ET POURTANT…
- Alors que le territoire belge est exigu, il y a d’énormes disparités entre les habitants. Un Brugeois vit en moyenne 5 ans plus longtemps qu’un Anderlusien. C’est encore plus flagrant en matière d’espérance de santé. Ces importantes disparités sont avant tout dues aux différences de niveau d’éducation, d’habitudes alimentaires, de niveau de vie.
- La consommation de somnifères et d’antidépresseurs par les personnes âgées est en constante augmentation et va de pair avec leur isolement croissant : 34% sont aujourd’hui isolées contre 17% en 1970. A Bruxelles, les nombreuses maisons de repos hébergent une forte proportion de résidents encore valides, qui y recherchent la sécurité et à rompre leur isolement ;
- Le taux de suicide des hommes de + de 75 ans est élevé. Ces indicateurs interpellent.
Il ne faut pas réduire le niveau de bien-être dans un Etat donné à l’accumulation de richesses accumulées collectivement. C’est même le contraire lorsque l’accumulation de biens est atteinte au détriment du lien social. Nous sommes riches de biens mais pauvres de liens.
Le montant des indemnités d’invalidité versées en Belgique explose littéralement sans que les bénéficiaires sortent de la précarité financière. Une enquête interne aux Mutualités chrétiennes réalisée auprès de 500 invalides montre que la moitié ont du mal « à joindre les deux bouts » et n’ont aucun budget pour les loisirs.
27% des hommes de plus de 60 ans sont enregistrés comme invalides. Entre 2000 et 2010 la Belgique a enregistré 60.000 invalides de plus, entre 2010 et 2015, 90.000 de plus et on en prévoit 120.000 de plus entre 2015 et 2020.
Le mouvement s’accélère avec le vieillissement de la population : en 2000 la Belgique comptait 186.000 personnes de + de 85 ans, en 2030 ce nombre aura grimpé à 350.000 et en 2050, à 700.000 ! Le « baby-boom » d’après-guerre s’est mué en « papy-boom ».
L’allongement de la durée du temps de travail pour à la fois réduire le nombre d’inactifs à la charge des actifs et financer les pensions des seniors est inéluctable. Rien que les besoins de financement des indemnités d’invalidité ont crû de 1,6 milliard d’euro ces cinq dernières années.
Mais les palliatifs mis en œuvre par le gouvernement fédéral (volonté affichée de remettre le maximum d’invalides au travail, sous peine de sanctions pécuniaires) se heurtent à l’obstination des chiffres : seuls 7% des invalides sont prêts à retravailler. Ces mesures ne tiennent pas lieu de vision ambitieuse, précédant toute nouvelle stratégie d’envergure.
ET COMMENT ?
A contrario de la Belgique, la Finlande est devenue très proactive pour éviter que l’allongement du temps de travail rime avec l’explosion du taux d’incapacité. Les seniors actifs travaillent principalement à mi-temps et dans des fonctions de tuteurs des actifs plus jeunes. Ils retrouvent de la considération aux yeux de la société en étant perçus comme une richesse humaine et plus comme une charge.
Remises au cœur de la société et plus reléguées à ses marges, les personnes âgées se portent mieux car « elles sont remises debout ». Les infirmiers de rue témoignent que le lien social soigne mieux que tous les médicaments et revient moins cher.
La Belgique consacre 10 % de son PIB aux soins de santé soit une quarantaine de milliards € chaque année. Les Etats-Unis, 17% ! Avec une espérance de vie moyenne plus basse, au niveau de celle des Cubains.
L’idée dominante reste que la croissance est le remède à tous les maux : plus d’investissements dans les soins de santé, de caméras de surveillance, de contrôles etc… Avec comme corolaire le développement de services marchands et le chacun pour soi (auxiliaires de vie à domicile « SeniorCare24 ») ou l’entre-soi (complexe immobilier « Bella Vita » à Waterloo), d’où le renforcement du clivage entre gagnants et perdants.
Or, l’aménagement du territoire (trottoirs accessibles, places publiques piétonnières, commerces de proximité, maisons de quartier, bibliothèques-librairies-cafés, jardins potagers publics, logements mixtes intergénérationnels, appartements communautaires dans chacun des grands immeubles d’habitation, ouverture au public de jardins privés, modes de transport doux tels le vélo, etc…) doit permettre aux différentes générations et classes sociales de favoriser les occasions de se recroiser gratuitement (fête des voisins, aide aux devoirs scolaires par les aînés, groupes de « tricoteuses », de cuisinières, etc…), de brasser leurs préoccupations.
ET MAINTENANT ?
Bruxelles est une agglomération cosmopolite qui recèle donc la richesse de la diversité des origines de ses habitants.
Le café d’antan est devenu rare mais pas le bar d’unité. Uccle compte 2.000 scouts (garçons et filles) pour 80.000 habitants. Certains mouvements de jeunesse gardent la cote.
Les Mutualités chrétiennes sont à l’origine de « Jeunesse et santé » (camps de vacances pour jeunes), Eneo (mouvement social des aînés), Alteo (mouvement social des personnes handicapées).
Chacun de nous a des talents. Comment les partageons-nous ? Plein de dépenses sont réduites, voire supprimées, lorsqu’on s’inscrit dans un réseau informel. C’est le cas des colocations étudiantes, de l’outil coûteux dont on se sert une fois par an et qu’on prête aux voisins. Il y a un risque qu’il soit moins bien entretenu mais il est transcendé par le bénéfice du lien humain cultivé.
Au Danemark, le nombre de résidents dans les maisons de retraite a chuté avec le développement d’une politique de maintien à domicile et de mixité des logements.
Cette tendance lourde s’inscrit dans l’économie du partage où l’usage des biens est plus important que leur possession, où l’être transcende l’avoir.
L’échevine Catherine Roba-Rabier, présente dans la salle, insiste sur l’importance de l’interpellation permanente des mandataires politiques par la société civile. Sans une société civile dynamique, les représentants politiques sont démunis.
En conclusion « Soyons le changement que nous voulons voir advenir » (Mahatma Gandhi)
Christophe Coeckelbergh
devenez visiteur de malades
DEVENEZ SOLIDAIRES
Pour qu’ils et elles ne soient pas toujours seuls, devenez visiteur de personne âgées, seules, malades, en maison de repos ou à domicile.
Chers tous,
- Vous souhaitez rendre visite à des personnes âgées, mais vous ne savez pas à qui vous adresser .
- Vous rendez visite à un membre de votre famille et vous êtes prêt à rendre une visite à une personne de plus.
- Vous venez d'être pensionné et vous disposez d'un peu de temps
- Vous avez envie de poser un geste de solidarité
- La solitude , la souffrance, le grand âge vous interpellent.
- Vous êtes tous et toutes les bienvenu(e) de 7 à 77 ans !
Personne
de contact :
Michelle Le Ray – Navez : Coordinatrice paroissiale de la pastorale de
la santé
Rue Langeveld 115 A / b 2 - 1180 Uccle
tel 02 - 375 03 71- gsm 0477 679 144
email dmcleray@voo.be
fête du Rosaire le 16 octobre à 10h00
Comme toutes les années nous vous invitons à venir célébrer et fêter
NOTRE-DAME DU ROSAIRE
Marie
Foyer de tendresse, Aurore du Salut
en l'église de Notre-Dame du Rosaire Avenue Montjoie 32 à Uccle
NOTRE-DAME DU ROSAIRE
Marie
Foyer de tendresse, Aurore du Salut
en l'église de Notre-Dame du Rosaire Avenue Montjoie 32 à Uccle
LE DIMANCHE 16 OCTOBRE 2016
MESSE FESTIVE A 10H00
A cette occasion la paroisse organise une conférence sur un sujet d'actualité
11h15 à la salle du Roseau à gauche de l’église
apéro et conférence-débat
par M. Jean HERMESSE
Secrétaire Général des Mutualités Chrétiennes
« L’hospitalité : un enjeu de société ou individuel ? »
Notre société évolue constamment dans toutes ses dimensions, économiques, environnementales, culturelles, politiques et démographiques. Face à ces évolutions et ces changements nous nous adaptons, c'est le propre de l'homme. Mais nous n'avons pas la même capacité, les mêmes dons, relations et moyens pour réussir à s'adapter. Les moins "nantis " feront alors appel ou bénéficieront peut-être de l'hospitalité des autres, individuelle et/ou organisée. Est-ce une question de chance ou l'hospitalité peut-elle être promue par des choix politiques ? Dans notre société de compétition et de gagnants , l'hospitalité peut contribuer à une qualité de vie accessible pour tous. Comment la promouvoir et la soutenir ? Un enjeu de société qui concerne chacun.
12h30 repas familial
Pour le repas réservation souhaitée :
Vente de cartes : au fond de l’église les W.E, à N.D. de Fatima (aux heures des messes)
au secrétariat tel 02 344 57 90 entre 10 et 12h
P.A.F. suggérée : adultes 15 € - famille 35 + 5 € par enfant au-delà de 3 enfants.
Nous vous attendons nombreux à cette occasion qui nous permettra non seulement de discuter d'un fait d'actualité, mis également de partager ensemble un moment de convivialité. Cette journée vous offrira également la possibilité de rencontrer les prêtres de la paroisse, ainsi que toutes les personnes qui participent bénévolement au développement de notre communauté.
Noël 2015 : célébrations dans notre Unité pastorale
- 18h00 à NDA messe de la nuit de Noël (pour les familles)
- 18h00 à NDR messe de Noël (des Familles et de la catéchèse)
- 19h30 au SC messe de la nuit de Noël
- 24h00 à NDA messe de la nuit
25 décembre
- 10h30 à NDR messe du jour de Noël
- 11h00 à TRI messe du jour de Noël
- 11h15 au SC messe du jour de Noël
NDA = ND de l'Annonciation
NDR = ND du Rosaire
SC = Sacré Coeur
TRI = Trinité
Grande Assemblée Paroissiale
« Viens, Il t’appelle ! »
Rejoignez-nous nombreux pour la
Grande Assemblée Paroissiale
de Notre-Dame du Rosaire
Samedi 27 septembre 2014 à 15h00
En l’Eglise Notre Dame du Rosaire
Avenue Montjoie
1180 Uccle
Programme :
15h00 : Accueil à
l’église.
15h20 : Exposé de l’Abbé
Claude Lichtert (Aumônier aux cliniques St Luc, chargé de
cours à l’U.C.L.,
Bibliste) « Comment et pourquoi Dieu est-il présent dans l’Eglise ? »
16h00 : Quelle évolution
pour notre Paroisse ?
-
Quelles sont nos fonctions vitales ? (groupes, activités
essentielles).
-
Quelles sont nos activités porteuses d’avenir ? (évangélisation,
témoignage Chrétien).
-
Quelles autres questions me paraissent pertinentes pour la
vitalité de notre paroisse ?
-
Qu’est-ce que j’attends de l’Unité Pastorale : « les
Sources Vives » ?
18h00 : Célébration
Eucharistique.
19h00 : Repas
convivial – Buffet à la salle du Roseau (à gauche de l’ église) : Auberge
Espagnole. Partage des
préparations apportées. (Boissons offertes par la paroisse)
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